Plus besoin de se cacher ici!! [Pv Letizia]

Messages : 12 Date d'inscription : 06/06/2010 Age : 31 Localisation : Belgique

On était enfin de retour au chateau, je pouvais enfin la prendre dans mes bras, l'embrasser. Dehors cella nous était interdit., on devaient résisté a ne pas montré de signes d'affection l'un envers l'autre, se qui était plutot difficile. Aujourd'hui, elle a appris quelques choses d'horrible, le décès de son père, celui qui avait accepter notre relation, et qui pour moi avait comme pris la place de mon père, dans le bon sens biensur. Letizia était très proche de son père, ils partageaient tout ensemble et je s'avais qu'a présent elle allait avoir encore plus besoin de moi, pour la soutenir, pour l'aider a passer cette période et accepté, malgrés la souffrance que cela porte. Je lui ouvrit la portière. A peine elle fut dehors, j'aperçu une ruée de paparazzi la photographié. Je la fit rentré imédiatement dans l'entrée et ferma la porte.

Je la pris de suite dans mes bras, je posa ma main sur ses cheveux et lui caressa. Aucun mot, mais les pleurs et l'expression de son visage m'en dit long sur son état. Je lui pris sa main et ensuite la fit monté dans sa chambre. Je la dévétit de son manteau et ensuite la fit s'assoir sur son lit, je me posa a coter d'elle et la repris dans mes bras. Je pris pas le temps d'enlever ma veste, mais nous baqua en arrière pour se coucher. Ma main repris ses caresses mais cette fois si sur son bras.

-Tu veux en parler? Sa te fera peut être du bien non?

Je me leva pendant quelques secondes le temps de ouvrir la fenêtres et de refermer aussitot les tentures, je revins ensuite vers elle. Me coucha sur le coter, posa une main sur son ventre, et posa mes lèvres sur les siennes. Elle allait peut être me repoussé, vu se qu'il se passait, mais je tentais tout de même.

Je posa ma tête a coter de la sienne, la regardant, son visage me sembla vide, vide de sens, d'espoir et de vie. J'avais mal, mal au fond de moi de ne pas pouvoir faire quelques choses pour elle, mais que pouvais-je faire au fond? Lui dire que je l'aime, me montré affectueux, mais sa n'allait rien changer a sa tristesse.

*Administratrice* Messages : 157 Date d'inscription : 09/05/2010 Age : 33

Mon père était décédé la nuit précédente. Depuis le début de la journée, j'étais complètement sidérée. J'avais appris la nouvelle tôt dans la matinée, en même temps que ma mère, et depuis ce moment, mon regard était dénué de sens, j'avais toujours l'impression d'être perdue dans mes pensées, ailleurs. Je voulais que tout cela soit un cauchemar, et que j'allais me réveiller bientôt. Pourtant, ce n'étais pas le cas, tout ce qui se passait durant la journée était réel. Le fait qu'on m'annonce que mon père soit mort, que je doive me présenter à une conférence de presse pour dire comment j'étais triste que mon père soit décédé, que j'annonce que les funérailles auraient bientôt lieu. Bref, toutes des paroles contrôlées, toutes des choses que je n'aurais pas voulu faire. J'avais appris à ne pas pleurer en public, à contenir mes émotions, mais en ce moment, tout ce que je voulais faire, c'était m'enfermer dans ma chambre, et pleurer toutes les larmes de mon corps.

Mon père avait beau être le président de l'Allemagne, il restait quand même mon père, l'homme que j'aimais le plus avec Lukas. Maintenant, il n'était plus là, et dans l'espace de quelques heures, la ville était sans dessus dessous, et ma vie était devenu un enfer. Heureusement, je pouvais toujours compter sur la présence de Lukas, quoiqu'en ce moment, même s'il était auprès de moi, il aurait pu s'éloigner, je ne l'aurais probablement pas vu. Ce n'était pas méchant, c'est juste que j'étais sous le choc, je me demandais même si je n'allais pas faire une dépression, quelque chose du genre. Jusqu'à ce que nous soyions pas rentrés dans le château, je ne pouvais pas rien faire, parce qu'il y avait des photographes partout, des journalistes qui me demandaient si j'étais triste de la mort de mon père. Ça, c'était un manque de respect total. C'est mon père, évidemment que je suis triste !

Enfin, nous étions à l'intérieur. Lukas et moi, nous nous rendîmes à ma chambre, où tout de suite, je me laissai tomber sur mon lit, en position assise le premier coup, et ce fut ensuite Lukas qui me poussa à me coucher. Je répondai à peine à son baiser, non que je ne voulais pas, mais plutôt parce que j'avais l'impression d'être complètement coupée du reste du monde. Je sais que ça me ferait du bien de pleurer, mais on dirait que je n'avais pas le droit. Je n'osais pas parler non plus, j'allais commencer à sangloter comme pas possible, je le savais, je le sentais. Puis, Lukas me demanda si je voulais en parler, que ça me ferait du bien. Je le regardai, et je fis mon premier sourire de la journée. Il était si gentil d'être là pour moi, je me sentais affreuse de ne pas lui offrir plus d'affection que cela en ce moment. Dire que je ne lui avait même pas fait part de mes intentions du matin... Ce matin, je voulais demander à mon père et Lukas et moi, nous pouvions rendre notre relation publique, je ne pourrai jamais le faire maintenant...

- Il n'y a pas grand-chose à dire... De toute façon, si je disais quoi que ce soit, ils me surveillent partout...

Ça y est, j'étais devenue complètement paranoïaque. Mais c'était vrai, depuis ce matin, des militants, les assassins de mon père, se promenaient dans le château, croyant que tout leur était permis. Certains disaient qu'ils étaient partis, moi je ne le croyais pas, je les voyais partout, je pensais que je ne pourrais plus jamais placer un mot qui ne soit pas calculé, prévu. Pour le moment, tout ce que je fis, c'est poser ma tête sur l'épaule de Lukas, et dire:

- Je suis désolée, tu dois me trouver si méchante en ce moment...

Messages : 12 Date d'inscription : 06/06/2010 Age : 31 Localisation : Belgique

J'aurais peut être pas du lui demander si elle voulait ne parler, j'aurai du la laisser, pleurer, non pas méchament, mais pleurer nous aident a remonté ensuite la pentes a être plus fort. Enfin pour moi en tout cas, quand j'était en mission, je faites de pleurer me donnait des phrases, pour me dire que bientot tout sa serai derrière moi. Bon j'avoue que c'est bizard, mais quand on se retrouve seul et qu'on a rien ou personne pour parler pour nous consolé, seul nos larmes peuvent être signes, "pleure..relève-toi".

Sa me fesait mal de la voir comme sa, je ne s'avais quoi lui dire, et puis si je commençais a parler j'avais peur de faire un mauvais pas et dire quelques chose que je devrais pas, un simple mot pourrait la blesser surtout maintenant, elle a appris sa se matin et c'était encore trop tôt et puis si un jour elle voudrais m'en parler, je serai la, pour la consoler pour l'écouter et lui dire que je l'aime.

Sa tête vint se poser sur mon épaule, je tourna la tête posa un baisé sur son front et la serra un peu plus tout contre moi, tout comme pour la consoler. Elle me dit qu'elle était désoler et que je devais surment la trouvé méchante en se moment. Comment pouvait-elle s'ecusez? C'était normal d'être a crant en se moment. C'était totalement compréhensible.

-T'inquiète pas.

Je lui fit un clin d'oeil. Je voulais l'embrassé a nouveau, mais vu son rejet de ma première tentative, je devais surment pas remettre sa sur le plateau, je resta alors bien gentil a coter d'elle et ouvrit les oreilles si elle commençait a me parler.

*Administratrice* Messages : 157 Date d'inscription : 09/05/2010 Age : 33

J'étais complètement désemparée, je ne savais plus quoi faire. En temps normal, j'étais toujours en possession de mes moyens, mais maintenant, j'avais l'impression d'être une marionnette qui refusait de faire son spectacle, même si on tirait sur ses fils. Si j'avais été une enfant normale qui venait de perdre son père, j'aurais probablement pleuré toute la journée, mais je n'étais pas une enfant normale, j'étais la fille du défunt président d'Allemagne, je ne pouvais pas perdre la face, du moins, c'est ce que je pensais, alors que j'étais dans ma chambre avec la personne qui connaissait toutes les facettes de ma personnalité, à qui je m'étais confiée tant de fois, qui savait tout ce que je ressentais, et qui était là aujourd'hui pour me soutenir. Mais moi, égoïste comme je me sentais, je lui prêtais à peine attention, et je me sentais coupable, même s'il disait de ne pas m'inquiéter pour cela.

Un moment de silence passa, où je me mis à penser à ce que je pourrais faire ? Mon coeur me disait de me laisser aller, pleurer toutes les larmes que je voulais pleurer, jusqu'à ne plus être capable de pleurer. Par contre, je me sentais mal de faire cela devant Lukas, alors que celui-ci venait de m'offrir si gentiment de lui parler, de lui dire ce que je ressentais. C'est ce que je décidai de faire, et si je commençais à pleurer, tant pis. Si ça s'apprenait, j'en aurais rien à faire, j'avais bien le droit de pleurer, mon père venait tout juste de mourir. Je commençai par dire:

- Tout est arrivé tellement vite... Comment j'aurais pu savoir que je n'allais plus jamais revoir mon père !? Maintenant... Ma vie est devenu un enfer, la ville est devenu un désastre, en quelques heures...

Je commençai à baisser la tête et les yeux. Devais-je lui avouer mes intentions de la veille ? Depuis quelques mois, je fréquentais Lukas, et mon père n'y avait jamais vu d'inconvénient, à la condition qu'on garde notre relation secrète jusqu'à ce que ce soit clair que je sois certaine de passer le reste de ma vie avec Lukas, que notre relation soit solide. Aujourd'hui, j'en étais persuadée, et le matin même, j'allais demander à mon père si on pouvait rendre notre relation publique. Je ne pourrai jamais le faire...

- Et ce matin... Je voulais demander à mon père si... si...

C'était plus fort que moi, les larmes commencèrent à couler sur mes joues, je dis, en sanglotant:

- Si on pouvait officialiser notre relation. Je t'aime tellement, j'aurais voulu que tout le monde le sache...

Pour moi, c'était devenu complètement impossible à présent. Je me sentais si mal, pourquoi j'avais tout caché ?!

Messages : 12 Date d'inscription : 06/06/2010 Age : 31 Localisation : Belgique

Je ne s'avais pas quoi faire, l'écouter je le fesais, mais lui répondre, la rassurer avec des mots pour l'appaisser, je n'y arrivais pas, enfaite moi aussi j'avais une part de tristesse en moi. J'avais peut être perdu mon père, non qu'il soit mort, mai plutot psychologiquement pour moi il n'était plus là, et je dois dire après tout ses mois en compagnie de cette famille, j'avais retrouver un peu le coter papa avec le père de Letizia. Elle me dit que tout était passé telement vite, elle n'avait même pas eu le temps de dire a son père aurevoir ou un je t'aime, qu'a présent sa vie était un enfer et que la ville était devenue un désastre, et sa seulement en quelques heures. Elle baissa ensuite la tête et les yeux. Tout se que je peu faire c'était la prendre dans mes bras, je ne s'avais quoi dire sur se qu'elle,venait de prononcé, et puis même je n'allais tout de même pas lui dire que tout se passerai bien, hors que je ne sais même pas se qu'il va se passer dans les heures à suivre.

Letizia m'avoua qu'elle aurait voulu demander se matin a son père, si ont pouvaient officialisé notre relation. Sa me toucha, je souris mais il partit très vite quand je l'entendit pleurer. J'aimais pas la voir triste, les yeux remplis de larmes, je n'aimais pas sa. J'avais l'impression d'être inutile auprès d'elle, là maintenant.

-Tu va tenir le coup ma chérie, je ferrais tout pour t'aider, je te le promet, je resterais auprès de toi tout ma vie et jamais je partirais.

J'avais envie de tout lui dire, lui dire tout sur la conversation que j'avais eu il y a plusieurs jours avec son père. Cette conversation qui aurait changer l'avenir de sa fille, ainsi que le miens, d'ailleurs j'était ravi qu'il avait accepter ma demande. Mais j'étais mal en repenssant a sa parce que je devais officialisé sa se soir a la cérémonie que son père avait prévu, mais maintenant j'osais faire quoi que se soit. Lui demander maintenant me mettrais surment face a un refus total. Je préférais attendre plusieurs semaines vois mois ou même année même si pour moi c'était beaucoup trop loin.

Je me coucha sur le lit, sur le dos, et posa mes mains sous ma nuque, je la regardais, elle était remplis de tristesse, ses yeux, ses mouvements lents et incertains, ainsi que les expressions de son visage me le fesait s'avoir. Je devrais trouver des mots a mettre sur tout sa, mais j'était vraiment vide, je ne s'avais vraiment pas quoi lui dire encore une fois, et j'avais peur de faire un faux pas, et lui faire encore plus de mal, qu'elle a déjà.

Je peux vous dire que si un jour, j'apprend que le connard qui a fait est toujours de se monde, je le turais, je lui ferais la peau. Voila un de mes anciens coters la revange et jamais, je ne la lache avant d'être sur que l'autre souffre encore plus que l'autre personne. C'était peut être méchant, mais mon coter que j'avais oublier au fur et a mesure avec ma relation avec Letizia, sa douceur, sa gentillesse m'avait fait changer mais sa je ne pouvais pas laisser passer.

*Administratrice* Messages : 157 Date d'inscription : 09/05/2010 Age : 33

Les paroles de Lukas me firent chaud au coeur. Il ne m'en voulait pas du tout de ne pas avoir parlé à mon père. Il faut dire que ce n'était pas ma faute, mais j'avait l'impression que si quand même. J'avais l'impression d'avoir manqué le bateau, que jamais, le monde entier ne pourrait savoir que j'aimais Lukas, ce que j'aimerais que tout le monde sache. J'étais prête à assumer les questions des journalistes, les photos. J'étais heureuse, tout ce qui passait devenait moindre quand j'étais avec Lukas, sauf ce qui était arrivé la veille, ce fameux meurtre qui avait complètement bouleversé ma vie.

- Merci, si tu savais à quel point ça veut dire beaucoup pour moi...

Je me sentais tellement mal de n'avoir pas pu demander à mon père si je pouvais officialiser ma relation avec Lukas. Officialiser la relation, la rendre publique, ça voulait dire beaucoup pour moi, et pour tous les gens dans le monde politique. En ce moment, je pouvais discuter avec Lukas en public, à l'université, mais les mots tendres, les baisers, on devait garder ça pour quand nous serions à l'intérieur du château, histoire que personne ne nous voie, vende la nouvelle aux grands journaux qui pourraient complètement délaisser la politique. C'était pour cela que je devais attendre que mon père me donne son accord, à un moment où les nouvelles politiques n'étaient pas très importantes, donc à un moment où leur relation pourrait être en première page sans aucun problème.

Je suivais la politique de proche, à cause de ma position, donc je voulais demander à mon père ce matin même si je pouvais rendre ma relation avec Lukas publique. Je suis persuadée qu'il aurait accepté. J'avais pensé le faire la veille, durant la soirée, mais mon père était déjà occupé, non seulement avec la cérémonie qui aurait dû avoir lieu ce soir, mais aussi, il avait déjà un entretien avec quelqu'un. Étant occupée ailleurs, je ne me souvenais plus trop avec qui, jusqu'au moment où je tentai de sécher mes larmes pour une énième fois, je regardai Lukas, et ça me vint à l'esprit. Il n'avait pas pu me tenir compagnie environ une heure de temps durant la soirée, une heure qui m'avait semblé être une éternité, parce qu'il disait devoir parler à quelqu'un. Mais oui, tout était clair ! Je dis donc:

- Dis-moi, tu as vu mon père hier soir, avant... tu sais quoi... je me trompe ?

Je ne le soupçonnais d'aucune manière, ça ne m'était même pas passé à l'esprit, loin de là. C'est juste que je n'avais pas pu voir mon père la veille, je n'avais pas pu lui parler vraiment. Je voulais savoir comment il était avant de se faire assassiner. Est-ce qu'il semblait se douter de quelque chose, de quoi avait-il parlé avant de prendre le chemin vers sa mort ? Comme Lukas était un des derniers à l'avoir vu avant qu'il monte dans sa voiture, je voulais tout savoir.